Airbus : le mystère du crash relancé
Les débris récupérés dans l'océan ne proviennent pas du vol Rio-Paris. L'enquête confirme des problèmes techniques.
Par ailleurs, le liquide découvert à la surface de l'océan n'est pas du kérosène. Il s'agit d'huile provenant d'un navire. Cet élément pourrait relancer l'hypothèse d'une explosion en plein vol. Et peut-être aussi celle de l'attentat. « Je n'ai jamais exclu la piste terroriste », a redit, hier, Hervé Morin.
Une sonde endommagée
Le ministre de la Défense a annoncé que la France allait envoyer dans l'Atlantique le sous-marin nucléaire d'attaque (SNA) Émeraude. « Le but est de détecter les émissions acoustiques des boîtes noires à l'aide de sonars », précise l'état-major des armées. Le SNA arrivera en milieu de semaine prochaine sur la zone des recherches.
Les premiers éléments de l'enquête ont mis en lumière des « incohérences » dans la mesure des vitesses de l'avion. Une sonde aurait donc pu être endommagée par l'orage, transmettant des données erronées à l'équipage. Un point suffisamment important pour qu'Airbus adresse aux compagnies aériennes un rappel sur les procédures à appliquer en cas de défaillance des indicateurs de vol.
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